mercredi 27 août 2014

Divergent de Véronica Roth




Dans le Chicago dystopique de Béatrice, la société est divisée en cinq factions, chacune dédiée à la culture d'une vertu : les Sincères, les Altruistes, les Audacieux, les Fraternels, et les Erudits. Sur un jour désigné de chaque année, tous les adolescents âgés de seize ans doivent choisir la faction à laquelle ils consacreront le reste de leur vie. Pour Béatrice, la décision est entre rester avec sa famille et être qui elle est, les deux sont incompatibles. Alors, elle fait un choix qui surprend tout le monde, y compris elle-même.
Mais Tris a aussi un secret, celui qu'elle a caché à tout le monde parce qu'elle a été averti qu'il peut signifier la mort. Et comme elle découvre un conflit croissant qui menace de percer cette société en apparence parfaite, elle apprend aussi que son secret pourrait l'aider à sauver ceux qu'elle aime. . . ou pourrait la détruire.




On se retrouve aujourd’hui pour la chronique du premier tome de la trilogie dystopique de Veronica Roth publiée en 2011, il faut dire qu’elle a écrit cette série à 22 ans, alors je peux vous dire que c’est un coup de cœur par l’histoire et aussi par la profondeur, serte mince, mais importante de la pensée de l’auteur dans ce premier tome.

L’histoire de ce roman m’a beaucoup fait penser à Harry Potter avec les cinq factions et les maisons dans l’école des sorciers, mais aussi une grande égalité sur l’environnement (la barrière), avec Never Sky de Veronica Rossi (des dômes). Le mode de la dystopie, une seule personne pour changer le cours du monde, je pense que ce cliché est assez connu après la trilogie Hungers Games écrit par Suzanne Colins. Mais voilà j’aime les romans dystopique, donc l’histoire est bien rodée et entrainante, cela m’a totalement comblé. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman.

Dans ma première partie j’évoque le fait que l’histoire en elle-même est en gros identique aux autres dystopie du moment, mais voilà il y a une chose qui fait que Divergent sort du lot, c’est la pensée de l’auteur sur l’être humain et nos sociétés, vous allez me dire mais sa rien à voir, bien sur le roman exagère, mais si on baisse l’échelle de l’exagération, on voit que notre société est aussi compartimenter que dans le roman. On fait des choses selon notre métiers et cela nous donne une autre vision du monde, par exemple un cadre n’attend pas les mêmes choses que des ouvriers.
Les érudits seraient dans notre monde les politiciens véreux ? Peut-être ?

Je vous laisse réfléchir à cela, mais voilà cela reste un roman agréable à lire.



ISBN: 978-0-06-208432-3  Edition KTB



5/5