Dans le Chicago dystopique de Béatrice, la société est divisée en cinq
factions, chacune dédiée à la culture d'une vertu : les Sincères, les
Altruistes, les Audacieux, les Fraternels, et les Erudits. Sur un jour
désigné de chaque année, tous les adolescents âgés de seize ans doivent
choisir la faction à laquelle ils consacreront le reste de leur vie.
Pour Béatrice, la décision est entre rester avec sa famille et être qui
elle est, les deux sont incompatibles. Alors, elle fait un choix qui
surprend tout le monde, y compris elle-même.
Mais Tris a aussi un secret, celui qu'elle a caché à tout le monde parce qu'elle a été averti qu'il peut signifier la mort. Et comme elle découvre un conflit croissant qui menace de percer cette société en apparence parfaite, elle apprend aussi que son secret pourrait l'aider à sauver ceux qu'elle aime. . . ou pourrait la détruire.
Mais Tris a aussi un secret, celui qu'elle a caché à tout le monde parce qu'elle a été averti qu'il peut signifier la mort. Et comme elle découvre un conflit croissant qui menace de percer cette société en apparence parfaite, elle apprend aussi que son secret pourrait l'aider à sauver ceux qu'elle aime. . . ou pourrait la détruire.
On se retrouve aujourd’hui pour la
chronique du premier tome de la trilogie dystopique de Veronica Roth publiée en
2011, il faut dire qu’elle a écrit cette série à 22 ans, alors je peux vous
dire que c’est un coup de cœur par l’histoire et aussi par la profondeur, serte
mince, mais importante de la pensée de l’auteur dans ce premier tome.
L’histoire de ce roman m’a beaucoup
fait penser à Harry Potter avec les cinq factions et les maisons dans l’école
des sorciers, mais aussi une grande égalité sur l’environnement (la barrière),
avec Never Sky de Veronica Rossi (des dômes). Le mode de la dystopie, une seule
personne pour changer le cours du monde, je pense que ce cliché est assez connu
après la trilogie Hungers Games écrit par Suzanne Colins. Mais voilà j’aime les
romans dystopique, donc l’histoire est bien rodée et entrainante, cela m’a
totalement comblé. J’ai pris beaucoup de plaisir à lire ce roman.
Dans ma première partie j’évoque le
fait que l’histoire en elle-même est en gros identique aux autres dystopie du
moment, mais voilà il y a une chose qui fait que Divergent sort du lot, c’est
la pensée de l’auteur sur l’être humain et nos sociétés, vous allez me dire
mais sa rien à voir, bien sur le roman exagère, mais si on baisse l’échelle de
l’exagération, on voit que notre société est aussi compartimenter que dans
le roman. On fait des choses selon notre métiers et cela nous donne une autre
vision du monde, par exemple un cadre n’attend pas les mêmes choses que des
ouvriers.
Les érudits seraient dans notre monde les politiciens véreux ? Peut-être ?
Les érudits seraient dans notre monde les politiciens véreux ? Peut-être ?
Je vous laisse réfléchir à cela, mais
voilà cela reste un roman agréable à lire.
ISBN: 978-0-06-208432-3 Edition KTB
5/5
Ça me donne encore plus envie de le sortir de ma PAL! ^^ Une belle chronique :)
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